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Expositions MAMCO, Musée d’art moderne et contemporain, Genève, 1999
…, la brillance de la résine provoque un miroitement qui intègre le spectateur à l’oeuvre, qui inscrit son corps au sein même de ces lieux qui deviennent le cadre provisoire de son expérience et de sa vie. Ainsi, tout tableau de Michel Huelin fonctionne comme une interface, réceptacle en amont d’une projection d’origine photographique, réceptacle en aval du reflet de quiconque s’en approche.
Jean-Marc Huitorel, catalogue exposition Centre culturel suisse, Paris, 1999
…c’est encore et toujours du corps dont il est question, qu’il s’agisse du corps absent suggéré par ses meubles ou du corps, lui bien réel, du spectateur qui se reflète avec tout son environnement et ses fantasmes dans le tableau. Michel Huelin désosse notre quotidien.
Mireille Descombes, L’Hebdo 18 janvier 1996